Les bons choix d’achat peuvent aider l’environnement

Lorsque les producteurs agricoles sont en mesure de préserver leurs cultures des insectes, mauvaises herbes et maladies, ils produisent davantage sur chaque hectare de terre. Par conséquent, ils peuvent cultiver une superficie moindre, tout en répondant à la demande mondiale de denrées alimentaires nutritives.

Les méthodes de désherbage de pointe permettent aux agriculteurs de passer moins fréquemment dans les champs avec leur équipement, d’où une économie de carburant; de retourner la terre moins souvent, d’où une réduction des émissions de dioxyde de carbone; et de laisser les résidus végétaux sur le sol, d’où un apport d’éléments nutritifs et une atténuation de l’érosion par le vent et l’eau.

Les bons choix d’achat peuvent aider l’environnement

• Sans les produits de protection des cultures et les innovations en sélection végétale, comme les cultures biotechnologiques, les agriculteurs auraient besoin de 44 % PLUS DE TERRES (une superficie équivalant à peu près à celle de toutes les Provinces maritimes réunies) pour produire autant qu’aujourd’hui.
• On estime que la séquestration du carbone et les économies de carburant résultant des pratiques de semis direct et de conservation du sol ont permis d’éviter le rejet dans l’atmosphère de 20 milliards de kilos de gaz à effet de serre de 1996 à 2018, soit l’équivalent du retrait d’environ 13 MILLIONS DE VOITURES DE LA CIRCULATION PENDANT UN AN..
• Près de 34 MILLIONS D’ACRES sont maintenus à l’état naturel (non touchés par l’agriculture) grâce à l’augmentation de la production sur les terres agricoles existantes. C’est la même superficie qu’environ 25 millions de terrains de football.
• Grâce en partie aux innovations en science des plantes, davantage d’agriculteurs ont pu adopter le travail de conservation du sol et l’agriculture sans labour, ce qui a permis d’économiser 1,2 MILLIARD DE LITRES de carburant de 1996 à 2018.
• Les agriculteurs canadiens continuent d’augmenter leurs superficies en semis direct: 19 DE NOS 33 MILLIONS d’acres de terres cultivées (58 %) étaient en semis direct en 2016.

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